Je ne vais pas raconter ma vie (sur un blog, faut pas rêver !), mais pour ceux qui passent par ici par hasard, quelques nouvelles ne seront pas de trop.
Mon faze (mon père pour ceux qui ont la compréhension lente) s'est mis à Internet. Alors on ne sait jamais, s'il venait à passer... Un grand bonjour de son fils, ainsi qu'au reste de ma famille, fidèle au poste.
Activité professionnelle : ça va, on n'en parle pas.
Activité de recherche : je prépare actuellement une intervention (dans un "panel") pour un colloque international en anglais à Tôkyô, non pas dans la joie, mais dans l'appréhension, car jusqu'à présent, je n'ai jamais eu besoin de l'anglais dans ma vie professionnelle ; mais quand une opportunité se présente, je ne dis pas : "fontaine, je ne boirai pas de ton eau" :
A part ça, je continue la traduction d'un livre (j'en ai deux autres en chantier, mais ma paresse naturelle m'empêche d'aller trop loin, et j'ai quelques projets d'articles pour des revues universitaires spécialisées.
Activité vidéo-ludique : je me découvre des passions de collectionneur : j'ai réussi à mettre la main sur presque tous les Phantasy Star, une saga toujours aussi décriée par la presse, mais que, voyez-vous (je n'y peux rien), j'adore. L'opus "Portable" sur psp est mon préféré, même si les vieux riblons que sont le 1 sur Master System et le 4 sur Megadrive restent pour moi des revenez-y. J'invite les personnes sans a-priori a s'intéresser à cette grande licence de space opera fantasy.
A part ça, Left 4 Dead fut un enchantement, ainsi qu'une tripotée de jeux plus anciens acquis tout au long de l'année. Je ne saurais que trop le recommander.
Activité littéraire : je suis en train de rédiger une nouvelle avec des zombies bien plus radicale que "Toda of the Dead" (d'où la pause plus qu'imméritée de ce dernier), et tellement radicale d'ailleurs (radicalissime) que par les temps qui courent, je me garderai bien de la mettre en ligne. Ce n'est pas le gore qui pourrait me valloir des ennuis, mais le fond de l'histoire. Peut-être que cela sera publié après ma mort, ce que je souhaite, et là, ça fera mal. On se dira que le père Zebest, ce n'était pas un tiède, contrairement aux apparences. Oui, le posthume, ça me plait bien. Ca fera se tordre quelques côtes.