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Il n'était pas méridional

Je suis en train de lire un ouvrage que je possède depuis au moins deux ans, et que je m'étais fait acheter et envoyer, croyant qu'il parlait du bouddhisme que j'étais alors en train d'étudier dans le cadre de mon cursus de japonologie. Il n'en était rien. Ce livre parle de bien autre chose, et sa lecture plusieurs fois repoussée m'apparaît aujoud'hui comme un fruit du non hasard, en pleine découverte de M.P.

Alfred "PEYSSINETTE" (1840-1921) a fait le meilleur usage de la correspondance qu'il est possible de faire.
Mais ce qui m'a surpris et passionné, c'est qu'il annonce, j'en suis encore tout retourné, bien des enseignements de M. P. Celui-ci avait-il eu connaissance de ce livre de son vivant ? C'est possible, mais M.P. ne tirait pas ses informations du livre de PEYSSINETTE (qui les recueillit d'un maître), mais à la source même. Toujours est-il que PEYSSINETTE se voit là confirmé en grande partie, et cette "caution" vient s'ajouter au sérieux, à la méthode rationnelle qui ont été les siens dans la rédaction de son petit chef d'euvre.


[Cette note est cryptée. Je suis navré pour le lecteur qui ne serait pas au fait de ces choses, mais s'il souhaite réellement savoir, qu'il cherche, et il trouvera. Toutes les vérités demurent quelque part, il suffit d'ouvrir les yeux. Il n'y a pas de pire aveugle que celui qui refuse de voir, ni de pire sourd que celui qui refuse d'entendre.]

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