Peu de nouvelles de moi, mes lecteurs s'impatientent, mes fans m'envoient des messages éplorés. Rassurez-vous, mes amis, Zebest va bien, il profite de ses vacances pour travailler à son grand projet enfermé chez lui dans une chaleur moite comme une étuve.
Je lis aussi pas mal, pour le plaisir aussi, j'entends. Derniers en date, les deux romans de Raymond RADIGUET, le recueil de poèmes Les chasseurs d'André HARDELLET, Derborance de Charles Ferdinand RAMUS, Monsieur Ouine de BERNANOS. Malheureusement, je n'ai pas le temps d'en parler ici aujourd'hui.
Mes projets de lecture : Un crime, de BERNANOS, Les contes du lundi de DAUDET, La fortune des Rougons de ZOLA, Le cousin Pons de BALZAC... J'ai en effet l'intention de rattraper quelques unes de mes lacunes en littérature française.
A très bientôt, je ne sais quand. Bonnes vacances à vous, si vous en avez, sinon travaillez bien !
Commentaires
coucou!
Voici un article intéressant sur le Dub Aïnou Band ,trouvé dans Libération en date de hier,le 3 aôut.
http://www.liberation.fr/culture/270619.FR.php
Bonne lecture et amuse-toi bien en vacances au Japon!
desolée! ce n'est pas le 3, mais le 4 aôut!
Merci !
Mais, à propos... on se connaît ?
Bonnes vacances et bonnes lectures!!!
Merci l'ami. A vous de même et en attente de pouvoir vous lire plus souvent (je n'ai plus internet chez moi afin de pouvoir mieux travailler).
Oui, je crois.
Mais, c'était la première fois que j'ai laissé un commentaire sur ton blog.
Alors, « Enchanté,Monsieur! »
Ah ! Vous êtes encore en vie ! Bonnes vacances ! Quant à Zola, bah...
Relire Zola &Balzac quelle aventure!
vous êtes-vous perdu dans le temps japonais ou avez-vous été kidnappé par une belle geisha? (c'est pour rire , je sais que vous ne pensez qu'à étudier)
Bonsoir ifsix. Merci de votre petit mot. Figurez-vous que le soldat du savoir est rentré passer une dizaine de jours au pays natal, et qu'il a un peu avancé dans son grand oeuvre... L'année prochaine, je serai enfin délivré (si je tiens le coup jusque là, mais y'a pas de raison).
A bientôt pour une nouvelle note.
Et si je vous disais que j'ai trouvé la dernière rue ancienne de Tôkyô, celle où habitent, paraît-il les sept dernières geishas de la capitale ? Malheureusement, je n'en ai croisée aucune.
Mais la geisha informelle, c'est à dire la femme de culture et d'esprit, est, en ce sens, toujours vivante, sous une autre forme...
Beau programme !