Certains ont peut-être pu constater que je tenais mes promesses quant à la suppression de certaines de mes notes. Ce blog est donc certes en expansion, mais il peut aussi se voir autocensuré à tout moment, et c'est ce qui risque d'arriver d'un jour à l'autre aux deux notes précédentes, car je n'aimerais pas que leur parti pris léger de mettre sur le même plan ce qui n'a pas à l'être blesse certains lecteurs ou les déçoive.
Commentaires
Voilà, la dernière note que j'avais lu c'était Stalker (2) hier soir (et encore, j'ai du chercher pour trouver pourquoi vous aviez besoin de sous-titres, bon Stalker (1) m'a aidé), et là je me rends compte que j'ai loupé (pour cause d'auto-censure) ce que vous ne comprenez pas. Dommage, parce que même si j'ai des compréhensions parfois différentes, j'ai bien aimé la note "Je comprends tout à fait". Bon ça m'apprendra à lire votre blog plus fréquemment, histoire de lire les notes avant qu'elles ne disparaissent.
Ferdinand, je ne me souviens pas de vous avoir oncques vu céans... En tout cas, soyez le bienvenu en ces lieux instables, menacés de précarité, mais où toute parole peut s'exprimer, pour un temps tout au moins.
Dans le message en question, j'évoquais notamment les olives noires et Véronique Sansom...
Passé sans laisser de traces.
Bon, devrais-je comprendre que vous aimez "oncques" ?
Parce que, je dois admettre que c'est un mot que j'aime beaucoup. Du coup, cela rattraperait les olives noires (quoique, cela ne fait que quelques années que je les comprends. Par contre, V. S., je dois admettre que je n'ai cherché à comprendre)
Bon, aussi je me demandais, vous allez continuer avec l'autocensure dans le futur ou vous jugez que lire ces commentaires de gens qui (comme moi) se demandent ce qui a été auto-censuré, est en fait encore moins agréable qu'avoir des commentaires furieux de personnes ne comprenant pas votre absence de compréhension ?
Tout cela dépend de mon humeur et de ma réflexion du moment. L'autocensure, régulièrement, mais sans en abuser. Je n'ai pas envie de me saborder, quand même...
C'est gentil de passer, en tout cas.