Ainsi l'âme, cet être divin, issu des régions supérieures, vient à l'intérieur d'un corps : elle qui est la dernière des divinités vient ici par inclination volontaire, pour exercer sa puissance et mettre de l'ordre en ce qui est après elle ; et si elle fuit au plus vite, elle ne subit aucun dommage pour avoir pris connaissance du mal, pour avoir connu la nature du vice, pour avoir manifesté ses puissances et avoir produit des actes et des actions : toutes ces forces, inactives dans le monde incorporel, seraient vaines si elles ne passaient toujours à l'acte ; l'âme même ignorerait qu'elle les possède si elles ne se manifestaient et ne procédaient d'elle ; car l'acte manifeste toujours une puissance cachée et invisible qui n'est pas en elle-même, une vraie réalité. De fait, chacun est émerveillé des richesses intérieures d'un être en voyant la variété de ses effets extérieurs, tels qu'ils sont dans les ouvrages délicats qu'il fabrique.
extrait des Ennéades
Ainsi l'ambulacraire, cet étranger diverticule, issu des régies superfluides, vient à l'interféron d'un corporal : *lui* qui est la (dernière/) dermatose des divinateurs vient ici par incivisme voliger , pour exemplifier son puisage et métrer (de) l'ordonnancement en ce qui est après *lui* ; et s'il frustre au plus vitaliste, *il* ne subdivise aucun dominicain pour avoir prémédité conjungo de la majorité, pour avoir conjuré la natte du vibromasseur, pour avoir manié ses puisages et avoir prodigué des acrosomes et des actinométries : tous ces forages, inaccessibles dans les monastères inconvenants, seraient vagues s'*ils* ne passementaient totalement à l'acrosome ; l'ambulacraire même ignifugerait qu'*il* les pose s'*ils* ne se maniaient et ne privilégiaient d'*eux* ; car l'acrosome manie totalement un puisage cache-flamme et invisible qui n'est pas en lui-même, un voyant réalgar. De faisandeau, chabot est émergé des riccies interférentielles d'un étranger en voilant la variation de ses efféminés extensifs, tels qu'ils (sont/) étourdissent dans les outremers délibérant qu'il (fabrique/) exulte.
Les enlisements
Notes :
1 Ambulacraire : Du fin tube de locomotion des échinodermes.
2 Diverticule : Petit détour bien écarté.
3 Interféron : Substances solubles que sécrètent les cellules infectées par un virus et qui protègent les autres cellules de l'infection virale.
4 Corporal : Linge bénit, figurant le linceul de Jésus-Christ, que le prêtre étend sur l'autel pour y poser le calice et l'hostie.
5 Voliger : Garnir de charpente.
6 Conjungo : Plaisant. , vieilli : mariage.
7 Acrosome : Organite sécrétée par l'appareil de Golgi, situé à la partie antérieure du spermatozoïde.
8 Actinométrie : Mesure de l'énergie transportée par un rayonnement.
9 Réalgar : Sulfure naturel d'arsenic, de couleur rouge.
10 Chabot : Poisson à grosse tête, qui peut atteindre 30 cm.
11 Riccie : Hépatique à thalle des terrains humides.
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La mort du pape (2)
Je reviens sur la mort du pape, qui m'apparaît, (mais je suis loin d'être le seul), comme particulièrement révélatrice de différents phénomènes contemporains.
I Tout d'abord, je me demande si à les morts des deux précédents papes, peu espacées d'ailleurs (hélas pour Jean-Paul), une telle foule s'étais déplacée pour aller rendre un dernier hommage à la dépouille. Il me semble que non. Avec Jean-Paul II, une nouvelle relation au pape s'est installée, une relation passionnée, une relation d'image, au point qu'Alain FINKELKRAUT (pour qui je ne cache pas mon admiration) a pu parler (notamment dans "Qui vive" sur RCJ) de phénomène d'"idolâtrie", et je pense qu'il n'a pas tort. Ce pape, qui nous dit-il, n'en finissait pas de mourir devant les écrans de télévision, a occupé toute sa vie ces derniers, et très peu de monde a lu ce qu'il écrivait. Peu de gens connaissent l'importance capitale de son dialogue avec LEVINAS, en revanche, ses sectateurs le pleurent comme si c'était leur grand père et ses détracteurs ricanent, eux qui se sont moqués de lui et des catholiques en toute impunité. Je défie au passage quiconque de me prouver qu'il est encore "subversif" ou dangereux de se moquer des catholiques. C'est au contraire une solution de facilité, une fausse "provoc'" politiquement correcte, mais passons. Dans l'interview sus-citée, Alain FINKELKRAUT ajoutait que la passion du pape avait remplacé celle du Christ (je nuancerais en ajoutant : concuremment avec le film de Mel GIBSON... ), ce que j'interprêterais de la façon suivante : à un ensemble de données qui ne sont plus connues (l'Histroire religieuse et la théologie de base) est substitué un flot d'images médiatiques liées à des affects primaires (l'amour déchaîné, la répulsion épidhermique, la colère irraisonnée... ). Ce n'est plus le message du pape que l'on écoute (on aurait plutôt tendance à le rejeter en bloc), c'est son image que l'on regarde, qu'on poursuit, qu'on reproduit à l'envi comme si cette représentation devait donner toutes les réponses. Encore une fois l'illustration de la régression intellectuelle des populations incapables (mais ce n'est pas complètement leur faute, j'en suis conscient, et je les plains : d'où un deuxième "hélas !") d'écouter, de réfléchir, je ne parle même pas de lire, grand Dieu (assez d'insanités ! : la lecture, et puis quoi encore ?!) ce que cet homme, détenteur d'une FONCTION, a pu écrire.
En apprenant la mort du pape, j'ai été un peu ébranlé, c'est certain, mais au fond, j'étais content pour LUI que son agonie s'arrête. Et en tant que croyant, je n'étais pas triste pour LUI, car ce qui l'attend est positif. Pleurer sur son cadavre, c'est être égoïste : plutôt que de pleurer sur ce qu'il aurait encore pu faire s'il avait vécu (vous rigolez, ce pauvre homme était souffrant et délégait malgré lui tout le pouvoir à la Curie), en fait ces masses pleurent sur elles-mêmes comme des enfants ! C'est donc de l'égoïsme puéril ! Si l'on croit vraiment à la vie après la mort, seule la mort de nos proches (dont on ne sera privé qu'un bref moment) devrait nous affecter à ce point. Je n'ai pas vécu d'émotion avec Jean-Paul II, ce qui ne m'a pas empêché de le considérer comme une grand pape et un personnage historique de premier plan, un intellectuel profond. Il a accompli son oeuvre, il a souffert et il est mort. Si l'on croit, on ajoute : il est rétribué. Mais il me semble que cet amour débordant devrait davantage être distribué à l'humanité en général, à nos proches, et bien sûr et avant tout à Dieu et au Christ. Le pape est le successeur de Pierre, pas le fils du Christ. C'est un homme au servie des hommes. Respectons l'oeuvre de l'homme, respectons sa FONCTION, et cessons (mais je ne me sens pas visé) de nous apitoyer sur notre sort devant son cadavre qui devrait vite être séparé de ces regards malsains. Que la chair se retire derrière le verbe. Jean-Paul II continuera d'exister pour les catholiques d'aujourd'hui notamment par les conséquences de ses actes, mais aussi par les écrits qu'il laisse. Ayons la curiosité intellectuelle de les étudier, de les interroger. Utilisons nos cerveaux, pour une fois ! Et si Jean-Paul II en devient moins séduisant (puisque dépouillé de son aura médiatique), sa parole nous apparaîtra plus claire et plus profonde, et nous serons davantage à même de comprendre ce qu'il a fait et tenté de faire, ce qu'il a pensé.
II Tout le monde médiatique, et une grande partie de la population reproche l'attitude de Jean-Paul II vis-à-vis du préservatif (essentiellement), mais l'amnésie semble alors dominer, ou la mauvaise foi la plus éhontée, lorsqu'il ne s'agit pas de l'ignorance la plus crasse, marque de notre société française profondément abrutie (hélas encore et bien sûr). Je rappelle que la position du Pape sur le préservatif est conforme à celle du judaïsme dont le christianisme découle, position que l'islam a reprise. Est-ce bien, est-ce mal ? A chacun d'en juger avec ses critères, mais c'est ainsi, et il y a des arguments en faveur de ce choix : pensez-vous qu'il serait cohérent que les églises prêchent le sexe sans autres limites que celles de l'hygiène et du consentement (concept juridique) ? N'est-ce pas leur rôle que de fournir des normes, certes strictes et anachroniques, mais justement porteuses de continuité et inscrivant lesdites religion dans une Histoire ?! Je crois que c'est le rôle du Pape de prêcher la fidélité, de dire que la sexualité hors mariage est mal. C'est ça la morale. Après, nous sommes des grandes personnes. A nous ensuite d'agir en adultes et de faire la part de la raison (le port du préservatif), du vice (le sexe hors du cadre conjugalo-reproductif) et de la morale (rester dans les normes ou s'abstenir). La notion de culpabilité fait partie des bases de la civilisation judéo-chrétienne, et l'Histoire montre qu'on peut tout à fait vivre avec. D'où vient qu'aujourd'hui, toute morale (en particulier la morale sexuelle) soit sytématiquement rejetée comme "ringarde" ou "inhibante" ? N'y a-t-il pas au contraire quelque chose de pathologique dans ce refus adolescent et immature ? La génération de mai 68 se rend-elle compte qu'elle est en train (pas toute seule, mais quand même) de saper les fondations de l'Occident ? L'attitude vis-à-vis du pape n'en est qu'un exemple, mais il est extrêmement lourd de sens et de symbolique.
Il y a urgence. Urgence de retourner à l'étude, d'acquérir des connaissances et d'essayer de réfléchir posément. Urgence d'apprendre à nos enfants à étudier, à lire, à parler et écrire correctement (je n'appelle pas le style SMS écrire), à se tenir tranquille. On n'apprend pas qu'en s'amusant. On apprend aussi avec le sérieux et la distance, auprès de gens qui n'utilisent pas le même langage que nous. C'est par la famille et l'école, les deux conjugués, que nous aurons une chance de nous réinsérer dans la raison. Une foule ignare est la première à être manipulée par des tribuns ou des chefs de guerre. L'Europe vit sa décadence, la sortie du royaume de l'esprit et le croupissement dans la fange d'un monde qu'elle prive de transcendance. Si elle ne veut pas mourir asphyxiée par ses propres excréments, préparant le terrain à tout arrivant (intégrisme islamique ou empire marchand démocratico-impérialiste (les USA)), elle doit revenir, je le répète, et je ne suis pas prêt d'arrêter de le faire, à la morale (que seule la religion cautionne absolument) et à l'étude (au travail, les jeunes ! Arrêtez de vous plaindre et de la ramener : que chacun reste à sa place). La sortie de ce bourbier (pour rester poli) ne se fera pas sans difficultés, et c'est inconscience et/ou stupidité que de prétendre le contraire. A choisir entre la destruction de l'Occident ou de durs efforts pour ensuite s'en sortir, je préfère les durs efforts. J'invite le lecteur, en signe de solidarité, à lire ne serait-ce qu'une page de littérature par jour, pour commencer à mieux employer son temps et exercer son esprit.
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Interlude
Voici la "Japan map" telle qu'elle figure sur le site du quotidien national "Asahi shimbun" 「朝日新聞」. Ce document mériterait d'être analysé dans les lycées : contexte, présence des USA, taille des USA, du Japon, le fait que le titre de l'image soit "Japan map" et non "Nihon no chizu 日本の地図". Plutôt que de voir les USA comme un DOM du Japon, je dirais plutôt le contraire : le Japon devenu (au niveau de ses dirigeants) une sorte de territoire d'outre mer des USA. Mais c'est sans compter sur les attitudes divergentes de ces deux gouvernements sur la politique en Asie...
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Du nouveau pour bientôt
En raison d'obligations professionnelles, il m'est très difficile de tenir régulièrement ce blog à jour, pourtant je ne compte pas renoncer. La suite de mon récit de voyage (en français) viendra lorsque j'aurai fini la rédaction de mon rapport consacré à ce même voyage vu sous l'angle universitaire... et rédigé en japonais, mais cela, les plus attentifs d'entre vous le savent déjà. Une note viendra appeler votre vigilance à retourner à la note "Voyage d'études (2)" qui sera mise à jour (suite et fin de ma journée à Hiroshima) et sera suivie de notes 3, 4 et peut-être même cinq. Tout dépendra dans quelle note je placerai le récit de ma demi-journée à Miyajima (un des trésors du Japon, selon moi). Des photos viendront compléter mon propos. J'essaierai de vous faire partager cette impression d'émerveillement qui m'accompagna durant ces quelques jours inoubliables à l'extrême ouest de Honshû, mais aussi au plus profond de ma conscience, dont hélas vous ne saurez rien : pourquoi faire ce que Montaigne ou Rousseau ont si bien réalisé ? Peine perdue. Restons simple, parlons doucement, et de mon souffle je vous donnerai quelques bribes de ce voyage initiatique, quelques nuages qui s'évanouiront très vite... Le silence les rappelle. L'oubli les commande. Moi seul en garderai la mémoire.
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La mort du pape - modestes réflexions sur le catholicisme
Nous nous y attendions tous, cela allait arriver d'un jour à l'autre. Voilà, c'est fait : le pape a rendu l'âme. Loin d'en avoir été un inconditionnel, comme le plupart des gens, je dois avouer que j'ai été touché. Ses derniers jours ont été jusqu'au bout une noble lutte dont la presse charognarde a bien profité. Enormément de choses ont été dites dans les journaux, sur les blogs, partout, mais le plus intéressant ne viendra-t-il pas dans cent ou deux-cents ans, (si l'humanité existe encore, ou si elle sait encore lire le français), lorsque le recul, débarrassé des passions, remettra les choses à leur place ? L'Histoire commence son immortel travail.
On ne doit pas évoquer l'émotion présente. D'une certaine façon, cette mort met fin à l'angoisse de ceux qui vivaient les yeux rivés sur le Saint Père tout comme aux souffrances de ce dernier. Je suis loin d'être indifférent à ce qui arrive, mais peu importe ce que je ressens. Il eut été curieux que ce blog, s'inscrivant dans un temps limité, précis, ne fasse pas l'échos d'un évènement lié à la religion à laquelle je dis attacher de l'importance. Ce qui compte, en ce qui me concerne, n'est pas d'aller, ou non, à la messe, c'est la sincérité du coeur, les actions, le fait de considérer ou non que la religion est porteuse de Vérité révélée et qu'elle donne sens ou du moins apporte du sens et structure le monde. Beaucoup de gens ici-bas pleurent le Pape, pourtant je ne suis pas sûr qu'ils connaissent très bien ce qu'est la religion. S'ils avaient une (meilleure) culture religieuse, sans doute assisterions-nous à des débats plus riches, et le sens de l'action de cet homme, replacée dans un contexte non seulement politique, social et médiatique, mais aussi RELIGIEUX apparaîtrait -il plus à même de nous questionner. Passée la période des cérémonies, j'attends de voir qui sera élu à la succession de Jean-Paul II.
J'attends du nouveau pape qu'il n'ait pas peur de réintroduire du sacré, du mystère, du Beau, dans la religion chrétienne. Assez des messes aux chants minables torchées par des incompétents de patronage, du cucul qui nous ridiculise et éloigne les jeunes de notre héritage vers des formes plus mystérieuses, ou tout simplement plus austères (l'islam). Je veux des vrais chants composés par des gens compétents, du contrepoint, de la fugue, des ombres et des lumières dans les églises, par un éclairage blafard qui nous fait nous observer les uns les autres dans une foire aux vanités dont je ne veux pas être. Il nous faut une seconde Contre-Réforme, pas dans le sens de la lutte contre le protestantisme, mais d'une reconsidération du rôle de l'Art. J'attends la réintroduction de prières en latin (pas toute la messe), et l'introduction de prières en grec ancien et en hébreux. Je forme les voeux de voir apparaître un pape qui n'ait pas peur de réintroduire un enseignement conséquent de l'apport juif et des racines juives du christianisme. Il faut "rejudaïser" le christianisme, non pas en réintroduisant la Loi juive, à laquelle le Christ avait substitué la Seconde alliance, mais en reconnectant le christianisme à une pensée riche qu'il peut en très grande partie revendiquer comme un sien héritage, encore vivant.
Je souhaite un pape qui continue le rapprochement avec les orthodoxes. La fusion me paraît une chose magnifique.
Enfin, si réformes "libérales" il devait y avoir, pourquoi pas un retour au mariage des prêtres (qui était chose courante et légale jusqu'au XIIIème siècle, je crois) : les rabbins se marient, alors que les prêtres puissent le faire aussi, s'ils en ont envie. Pour moi, le célibat du prêtre devrait être un idéal, non une obligation. Marié, on fait avec, célibataire, c'est mieux. La solution intermédiaire adoptée par les orthodoxes (autoriser les hommes mariés à devenir prêtres mais interdire aux prêtres célibataires de se marier) me paraît un bon compromis apte à favoriser le rapprochement avec nos frères orthodoxes. A cet égard, sachons faire notre mea culpa, nous d'abord, rendons-leur leurs reliques, grand seigneurs, et faisons la paix. Les gens de ma générations ignorent dans leur quasi-totalité les origines du Schisme.
Il faut que l'Eglise retrouve son rôle de pilier mystique entre ce monde-ci et le monde de Dieu, qu'elle joue moins sur son image sociale que sur son image spirituelle.
Du côté de la société civile, le complexe de "haine de soi" qui marque une certaine partie de la gauche française et qui consiste à toujours rabaisser et tourner systématiquement en dérision tout ce qu'il y a de catholique, doit être purgé. Qu'on soit croyant ou non, la chrétienté a forgé une partie de notre identité. Et tant qu'on s'efforcera, dans des convulsions charnelles de brute (au sens étymologique) illettrée à limiter cet apport à l'Inquisition et aux prêtres pédophiles, on prendra la brebis galleuse pour le vaste troupeau. C'est comme si, après des scandales d'instituteurs pédophiles on disait qu'il fallait supprimer l'enseignement ! ou qu'après une bavure policière il fallait supprimer la police. Et d'ailleurs, pour revenir à l'Inquisition, bien peu sont capables d'en parler de façon scientifique, en distinguant les époques, les pays, les hommes qui l'ont fait et les différents courants qui l'ont traversée...
Les bases textuelles de l'Eglise sont saines, sachons y revenir. On dira ce qu'on voudra, seul un mensonge ou une manipulation pourrait prétendre le contraire. Lisons La Bible, c'est évident, mais lisons aussi les Pères de l'Eglise, et n'ayons pas les yeux fixés sur le seul Moyen Âge ou nos actuels palais de Justice.
Si le désengagement des gens du catholicisme se confirme et que l'influence de cette religion baisse jusqu'à ce qu'elle en meure, eh bien soit !, mais alors je lui veux du panache, à cette mort, de la noblesse, et j'y participerai comme quelques autres. Et mon tombeau, ou mon urne funéraire, sera marquée d'une croix.
Comme tout ceci doit sembler délirant à nos athées...